Événements et Cours disponibles

Cours de Pilates en ligne


Le Pilates pour qui ?

Pour quoi ? 

Le Pilates est une gymnastique douce qui a pour but de renforcer les chaînes musculaires profondes du corps, rétablir la stabilité et la posture. Grâce au Pilates durant la grossesse, vous pourrez renforcer votre plancher pelvien, votre dos, et diminuer le risque d'apparition de douleur en lien avec le poids du bébé sur ces zones. 


Durant la grossesse : Depuis quand ?

Le Pilates peut être pratiqué tout au long de la grossesse, pour autant que vous ayez l'accord de votre médecin et aucune contre-indication médicale à faire de l'activité physique. 

De plus amples informations ? Un désire d'inscription ?

Après l'accouchement : Il peut être pratiqué dès la 6ᵉ semaine post-partum (pour un accouchement par voie basse) avec l'accord de votre médecin et/ou que votre rééducation périnéale soit ok. Pas avant 12 semaines suite à une césarienne et toujours sur accord du médecin. 

Durée du cours : 60 min

Quand : Tous les samedis matin

Quand? :

Mardi à 17h30 ou 18h30

Jeudi à 19h

Samedi à 9h30 ou à 16h


Nous demandons aux participantes un document de la part d'un médecin qui atteste qu'il est possible de pratiquer une activité physique.

Combien ? 25 CHF par cours. Un système d'abonnement de 5 cours est proposé pour 125 CHF.


Les cours ont lieu en visio et sont dispensés par Regiane Steffen.

Les absences sont à transmettre au minimum 24h à l'avance, sans quoi le cours vous sera facturé.

Nos prochains événements


08.05.2025 de 19h à 21h30

  • Soirée pour les pères et les futurs pères


15.05.2025 de 18h à 19h30

  • Atelier diversification alimentaire


04.09.2025 de 18h à 19h30

  • Atelier diversification alimentaire


11.09.2025 de 19h à 21h30

  • Soirée pour les pères et les futurs pères 

27.11.2025 de 18h à 19h30

  • Atelier diversification alimentaire



Plus d'informations

Diversification alimentaire : Faites les bons choix pour votre enfant

Baby to Be : « I want my baby to be well fed »

En collaboration avec Olivia Ansermet, diététicienne.


Le moment de la diversification de l'alimentation du bébé est une période qui engendre beaucoup de questions pour les parents.

Quel est le bon moment pour commencer la diversification ? Par quel aliment doit-il commencer ? Quels aliments ne doit-il pas consommer ? Quelle quantité doit-il manger ? Quelle méthode est la plus adaptée : purées ou DME ? Qu'est-ce que la DME ?

Que penser des produits pour bébé tout prêts à consommer ? Comment reconnaître les meilleurs ?

Nous vous expliquerons la DME, ses avantages et inconvénients des repas à la cuillère et vous aiderons à faire les bons choix alimentaires pour votre enfant.

Infos et inscription via notre formulaire de contact

Le cabinet Mum to Be organise un séminaire pour les parents ou futurs parents afin de vous donner des conseils pratiques sur comment démarrer la diversification alimentaire.

 Votre enfant est le bienvenu lors de l'atelier. Cet atelier est également possible en consultation privée. N'hésitez pas à réserver une consultation sur notre site internet

Date :  15 mai -  4 sept - 27 nov
Heure: 18h - 19h30
Lieu : Cabinet Mum to Be Sàrl - Rue des Remparts 20, 1400 Yverdon-les-Bains, 4ème étage.


Tarif :
 60 CHF - 100 CHF / couple.
Cet atelier est remboursé par la plupart des complémentaires.

Soirée pour les pères et les futures pères


Thèmes abordés


  • Que déclenche la paternité en moi ? 
  • Quelles images, quelles questions, quels défis, quels sentiments émergent? 
  • Quels sont les éléments les plus importants pour trouver un bon équilibre dans la vie de couple, familiale et professionnelle? 

Ces soirées offrent un espace simple et convivial ouvert à tous pour échanger et partager entre futurs et jeunes pères sur les expériences, trucs et astuces voire stratégies individuelles ou de couple qui peuvent aider à mieux gérer cette période délicate de la vie que constitue l'arrivée d'un enfant. 

Dates et horaires : 


Prochaine date : le 08 mai 2025

puis  11 septembre 2025

de 19h00 à 21h30


Lieu : Mum to be, rue des Remparts 20, 4ème étage, Yverdon-les-Bains 


Prix : CHF 50.- (cash ou Twint) 


Celui qui devient père se confronte à de nombreuses attentes différentes et de toutes nouvelles responsabilités. Le père d’aujourd’hui doit être un père plus patient et plus engagé, un partenaire aimant, un bon pote pour ses amis en même temps qu’ambitieux au travail. Comment gérer toutes ces contraintes nouvelles et parfois déstabilisantes? 


Information et inscription : 

Gilles Crettenand

MenCare Suisse 

crettenand@maenner.ch

078 874 46 08 

Retrouvez notre blog

20 janvier 2025
Plusieurs facteurs psychologiques peuvent expliquer les pères à la dépression post-partum : 1. Stress lié au nouveau rôle parental : La transition vers la parentalité n’est pas une mince affaire ! Les pères peuvent se sentir submergés par leurs nouvelles responsabilités, notamment lorsqu’ils s’efforcent de jongler entre les attentes de la mère, de la société, du travail et de la famille élargie. 2. Sentiment d’inadéquation : Certains hommes ressentent une pression à être des « piliers » pour la famille, ce qui peut engendrer des sentiments de culpabilité ou d’échec s’ils perçoivent qu’ils n’y parviennent pas. De même s’ils ne se sentent pas être « le père » qu’ils avaient imaginé être. 3. Changements dans la relation de couple : La naissance d’un enfant modifie la dynamique du couple et il faut se découvrir en tant que co-parent. Une baisse d’intimité, de temps pour le couple ou des conflits liés à différents aspects de « bébé » peuvent accentuer le stress psychologique. 4. Isolement émotionnel : Les pères, en particulier dans une société où la santé mentale masculine reste un tabou, et surtout en ce qui concerne la paternité, peuvent hésiter à exprimer leurs émotions ou leurs inquiétudes, ce qui aggrave leur mal-être. 5. Facteurs biologiques : Bien que moins étudiés que chez les mères, des recherches montrent que les niveaux de testostérone chez les pères peuvent chuter après la naissance d’un enfant, ce qui pourrait influencer leur humeur et leur prédisposition à la dépression. La dépression post-partum chez les pères peut se manifester différemment de celle des mères. Déjà, si chez les mères elle apparaît autours de la 6 ème semaine après l’accouchement (et selon moi jusque vers les 18 mois de l’enfant), la dépression chez les pères apparaît plus tardivement « quand la mère et l’enfant vont bien », soit, selon mon expérience, autours du 3 ème mois après l’accouchement (et approximativement jusqu’au 3 ans de l’enfant). Les hommes ont tendance à présenter des symptômes tels que : • Une irritabilité ou une colère accrue. • Un désengagement émotionnel avec le partenaire ou l’enfant. • Une augmentation des comportements à risque, comme l’abus d’alcool ou de substances. • Des troubles du sommeil, souvent liés à l’anxiété ou au stress. • Une sensation persistante de vide, d’échec ou de frustration. Les proches et même les professionnels passent souvent à côté, car elles ne correspondent pas toujours à l’image « classique » de la dépression. La dépression post-partum des pères peut avoir des répercussions importantes sur leur propre santé mentale, mais également sur leur famille. Elle peut entraîner : • Un attachement perturbé avec l’enfant : Les pères déprimés ont parfois du mal à établir un lien émotionnel fort avec leur bébé, ce qui peut influencer le développement affectif et cognitif de l’enfant. • Un impact sur la relation de couple : La dépression peut provoquer des tensions au sein du couple, augmentant le risque de conflits ou de séparation. La dépression post-partum des pères nécessite une reconnaissance et une prise en charge adaptées, avec autant de soin que celle des mères. Pour cela, il s’agit déjà de reconnaitre l’importance du père auprès du bébé dans sa construction psychique, autant que celle des mères, et son importance pour l’équilibre familiale. Puis il faut briser le tabou de la dépression post-partum chez les pères et sensibiliser la société et les professionnels de santé à cette problématique, pour encourager les hommes à chercher de l’aide sans craindre le jugement. Si la situation des mères dans la reconnaissance de la dépression post-partum est meilleure (mais encore largement perfectible), celle des pères n’a que peu évolué malheureusement. La dépression post-partum des pères est une réalité souvent méconnue, mais elle mérite une attention particulière. Pourtant une aide adaptée (psychothérapie individuelle ou de couple, groupe de paroles, meilleure préparation à la future paternité, …) pourrait améliorer la souffrance de beaucoup de père et de famille. En comprenant les facteurs psychologiques qui y contribuent et en mettant en place des stratégies de prévention et d’intervention, il est possible de soutenir les pères dans cette période de transition, favorisant ainsi leur bien-être, celui de leur partenaire et le développement harmonieux de leur enfant. Géraldine Busto Psychologue spécialiste en psychothérapie
par Jade Gombau 25 mai 2024
On connaît souvent l’hypnose par le biais de l’hypnose de spectacle : un·e spectateur·trice monte sur scène, et l’hypnotiseur·se le/la fait exécuter différentes actions qu’il/elle n’oserait (ou ne pourrait !) pas faire dans son état « normal ». L’hypnose thérapeutique que je vous propose, l’hypnose non-directive ou ericksonienne, est bien différente de l’hypnose de spectacle : pas question de vous faire perdre le contrôle, le but est que nous collaborions ! Je serai bien sûr là pour vous guider et vous ouvrir des portes vers de nouvelles possibilités, et en même temps c’est véritablement VOUS qui serez l’acteur·tice de votre voyage hypnotique : vous choisirez librement d’explorer et de travailler ce qui est soutenant pour vous. Durant nos séances d’hypnothérapie, je vais vous amener à entrer en « transe » : c’est un bien grand mot qui pourtant signifie simplement que vous serez dans un état de conscience un peu différent de d’habitude, quelque part entre l’éveil et le sommeil. D’ailleurs, si vous le souhaitez, vous pourrez vous rappeler de tout ce qui s’est passé une fois la séance finie ! L’état de transe ou de conscience modifiée est bien documenté dans la littérature scientifique comme un état caractérisé par des changements fonctionnels dans l’activité du cerveau qui sont mesurables notamment par électroencéphalogramme EEG (Wolf, Faerber, Rummel, Halsband, & Campus, 2022). De plus en plus de méta-analyses et de revues systématiques de la littérature scientifique montrent que l’hypnose thérapeutique est de plus en plus investiguée, en particulier pour : la gestion des douleurs chroniques (Langlois et al., 2022 ), le traitement de l’anxiété (Valentine, Milling, Clark, & Moriarty, 2019) la diminution du stress (Fisch, Brinkhaus, & Teut, 2017) la réduction de symptômes dépressifs (Vun Pang, Subramaniam, Amit, Wahab, & Moustafa, 2024) l’amélioration du sommeil (Chamine, Atchley, & Oken, 2018) l’accompagnement périnatal (préparation à l’accouchement, gestion des douleurs et prévention de la dépression post-partum ; Madden, Middleton, Cyna, Matthewson, & Jones, 2016 ; Dumont, Ogez, Nahas, & El-Baalbaki, 2023). Au fur et à mesure des avancées scientifiques, la liste des demandes pour lesquelles l’hypnose thérapeutique peut apporter un soutien s’agrandit. Je vous propose donc de définir ensemble vos objectifs personnels de thérapie et de co-construire un accompagnement qui soit le plus adapté à vos besoins ! Céline Rappaz, psychologue FSP et hypnothérapeute Références : Chamine, I., Atchley, R., & Oken, B. S. (2018). Hypnosis Intervention Effects on Sleep Outcomes: A Systematic Review. Journal of clinical sleep medicine : JCSM : official publication of the American Academy of Sleep Medicine, 14(2), 271–283. https://doi.org/10.5664/jcsm.6952 Dumont, É., Ogez, D., Nahas, S., & El-Baalbaki, G. (2023). The Use of Hypnosis during the Perinatal Period: A Systematic Review. The International journal of clinical and experimental hypnosis, 71(1), 25–47. https://doi.org/10.1080/00207144.2022.2160258 Fisch, S., Brinkhaus, B., & Teut, M. (2017). Hypnosis in patients with perceived stress - a systematic review. BMC complementary and alternative medicine, 17(1), 323. https://doi.org/10.1186/s12906-017-1806-0 Langlois, P., Perrochon, A., David, R., Rainville, P., Wood, C., Vanhaudenhuyse, A., Pageaux, B., Ounajim, A., Lavallière, M., Debarnot, U., Luque-Moreno, C., Roulaud, M., Simoneau, M., Goudman, L., Moens, M., Rigoard, P., & Billot, M. (2022). Hypnosis to manage musculoskeletal and neuropathic chronic pain: A systematic review and meta-analysis. Neuroscience and biobehavioral reviews, 135, 104591. https://doi.org/10.1016/j.neubiorev.2022.104591 Madden, K., Middleton, P., Cyna, A. M., Matthewson, M., & Jones, L. (2016). Hypnosis for pain management during labour and childbirth. The Cochrane database of systematic reviews, 2016(5), CD009356. https://doi.org/10.1002/14651858.CD009356.pub3 Pang, J. W. V., Subramaniam, P., Amit, N., Wahab, S., & Moustafa, A. A. (2024). Hypnotherapy as Treatment for Depression: A Scoping Review. The International j ournal of clinical and experimental hypnosis, 72(2), 155–188. https://doi.org/10.1080/00207144.2024.2317193 Valentine, K. E., Milling, L. S., Clark, L. J., & Moriarty, C. L. (2019). THE EFFICACY OF HYPNOSIS AS A TREATMENT FOR ANXIETY: A META-ANALYSIS. The International journal of clinical and experimental hypnosis, 67(3), 336–363. https://doi.org/10.1080/00207144.2019.1613863 Wolf, T. G., Faerber, K. A., Rummel, C., Halsband, U., & Campus, G. (2022). Functional Changes in Brain Activity Using Hypnosis: A Systematic Review. Brain sciences, 12(1), 108. https://doi.org/10.3390/brainsci12010108
par websites 28 mars 2024
Certaines croyances ont encore la dent dure afin d’y voir plus clair, je souhaite partager avec vous des idées reçues fréquemment entendues concernant le sommeil et l’allaitement. Cela vous permettra de vous forger votre propre opinion !
par websites 15 février 2024
Heureusement les langues se délient et cela laisse la place à une parentalité plus nuancée en couleur. La naissance d’un enfant notamment n’est plus perçue comme forcément « toute rose » (ou « toute bleu »). Avec internet, il est d’autant plus important de bien trier les informations, pour éviter soit de banaliser, soit de paniquer. Une des questions qui inquiète souvent les futurs et jeunes parents est de savoir comment différencier  un baby blues « normal » d’une dépression post-partum. Voilà quelques indices à garder en tête :
par websites 15 février 2024
Pourquoi la période du post-partum modifie-t-elle ma vie sexuelle ? Je me sens perdue…